« Alexie Molkovitch »
 |  Sujet: Alexie Molkovitch  Lun 23 Juil - 15:08 | |
| Alexie Molkovitch
feat. Jennifer LawrenceEn gros...║ Prénom(s) : Alexie
║ Nom : Molkovitch
║ Âge : 26 ans
║ Signe astrologique : Capricorne
║ Emploi désiré : Propriétaire d’une pension pokémon en dehors de la ville
║ Particularités physiques :Alexie mesure 1 mètre 71 pour un poids de 125 livres. Elle a les cheveux blond cendré qui virent au brun pâle lorsqu’elle passe trop de temps au soleil. La plupart du temps, ils sont attachés en queue de cheval pour faciliter le travail. Elle a de magnifiques yeux bleus dans lesquels il est possible de voir des paillettes argentées. D’ordinaire, elle réfléchit beaucoup ce qui lui fait froncer les sourcils assez fréquemment. Néanmoins, elle n’en garde aucune ride. Sa peau est assez claire malgré un horaire au soleil assez grand. C’est dire qu’elle passe la majeure partie de sa journée à l’extérieur pour travailler dans les champs et sur le reste de la ferme. Ces mains sont légèrement calleuses à cause du travail de terrain qu’elle fait, mais ça ne lui dérange pas vraiment. Rare sont les fois où vous ne la verrait pas en habit de travail, c’est-à-dire d’amples vêtements qu’il serait déshonorant de ne pas salir d’une manière ou d’une autre. En gros, les robes et le froufrou pas vraiment pour elle.
L'Univers Pokemon...║ Groupe : Éleveurs
║ Restrictions quant au pokemon : 2e génération
║ Tranche de niveau : 20
Dans ta tête...║ Convictions quant au conflit : Je suis du côté de ceux qui respectent et prennent soin de la vie, qu’elle soit animal, humain ou pokémon, il n’y a pas de différence pour moi. Je soutiens plusieurs dresseurs, certains amis de mon père, d’autres que j’ai appris à connaître et aimer au fils du temps. Pour eux, je suis prête à tout et jamais je ne divulguerais la moindre information à leur sujet. Dans ce conflit sur la garde ou non de pokémons, je me méfie surtout de la Team Opal dont je ne connais quasiment rien. Autant dire qu’ils nous gardent dans l’ombre avec leurs beaux discours à la noix. Ils disent agir pour le mieux de tous, mais j’en doute ouvertement. Je suis sincère sur mes croyances d’un monde où une harmonie serait créée entre humain et pokémon. Après tout, cette situation n’est guère différente de celle qui a prévalu il y a des millénaires de cela, soit notre relation avec les animaux sauvages qui peuplent la terre. Avec beaucoup de communication, nous pourrons faire des pokémons de bons alliés dans toutes les tâches de la vie courante, ça j’en suis certaine!
║ Ce que tu aimes :
J’aime la vie et le respect que les gens ont pour elle. J’aime beaucoup aider les autres, mais surtout aider les pokémons, ces êtres étranges qui viennent d’arriver dans notre monde il y a de cela 5 ans déjà. J’aime interagir avec eux et en apprendre sur leurs divers comportements. Je suis une jeune personne avec beaucoup d’énergie et cela de jour comme de nuit. Pour cette raison, j’aime être en action, que ce soit au travail ou dans le sport. En général les gens aiment bien bouger en groupe, mais moi, je préfère être seule. La solitude à beaucoup à apporter à la vie en générale, mais peu de gens savent en faire usage. Mon sport favori est le tir à l’arc que je pratique de temps à autre sur de vieille planche d’une clôture de la pension. Cela m’aide à faire descendre la pression lorsque quelque chose me turlupine l’esprit. Mais, ce que j’aime par-dessus tout, c’est ma pension, héritage de mon père.
║ Ce que tu n'aimes pas : Étant quelqu’un de très dynamique, je n’aime pas ceux qui me font perdre du temps, c’est-à-dire les hypocrites, les menteurs et les faux-jetons. Je n’aime pas qu’on me cache des choses comme la Team Opal semble le faire…. De plus je n’aime pas que, lorsque je donne ma confiance à quelqu’un, cette personne ne soit pas franche avec moi au retour. La confiance, ça va dans les deux sens. Souvent, je préfère être seule, c’est dire que je n’aime pas beaucoup la compagnie humaine… Les hommes ont tendance à toujours vouloir trop en faire, poser des questions inutiles et penser mieux que quiconque qu’ils peuvent résoudre tous les maux de cette terre… Et cela a tendance à m’exaspérer.
║ Psychologie : Les gens vous le diront parfois, je suis difficile à suivre. Un jour, j’aime la compagnie de ceux qui viennent me rendre visite, un autre jour, je chercher par tous les moyens à abréger la visite pour m’éloigner loin d’eux. Je suis donc d’un genre solitaire qui me plaît bien. J’aime travailler seule à mes occupations sur le domaine de la pension. Parfois, je suis trop perfectionniste et mes employés le ressentent lorsque je leur demande pour la deuxième fois de refaire une telle tâche ou une autre. Quand je ne suis pas satisfaite, il n’y a qu’une chose à faire, recommencer du début… J’adore m’occuper des animaux, des pokémons et de la ferme en générale. Je me sens bien avec la nature qui m’entoure alors. Je ne suis pas une fille facile. Il est difficile de gagner ma confiance, il faut alors faire ces preuves pour que je daigne vraiment vous l’accorder. Mais une fois que c’est chose faite, vous pouvez vraiment compter sur moi. Je ne laisse tomber aucun de mes amis. Je suis quelqu’un de très attentionnée et douce lorsqu’il s’agit de travailler avec un être vivant, animal ou pokémon, et je suis d’une patience extrême. Mais si vous réussissez à passer au travers de ma patience, ce ne sera pas beau à voir… En effet, je n’ai aucune difficulté à vous faire sortir de mon domaine avec force. Il y a des limites à ne pas dépasser et je suis très pointilleuse là-dessus. Parfois, je me fais penser à une girouette… Un jour je suis douce et gentille et le lendemain, je ne veux voir personne. Dur dur la vie dans ce monde mélanger par différents conflits…
Ce qui t'a mené jusqu'ici...║ Histoire
Le nom de famille Molkovitch n’est pas un nom typiquement canadien, beaucoup doivent s’en douter. En effet, ce nom qui est le mien vient de Russie, pays nordique des grands froids et des longs hivers, où je suis née il y a de cela 26 ans déjà au milieu d’une petite tempête en février, le 10 pour être plus précise. J’ai deux parents, comme n’importe quel enfant normal, soit un père, fermier assez important dans notre petit coin de pays qui aimait cultiver céréales, fruits et légumes ainsi qu’élever le bétail, toutes sortes d’animaux, vaches, porcs, poulets, chevaux, etc. J’ai aussi une mère qui faisait la paire avec mon père, c’est-à-dire qu’elle était vétérinaire, s’occupant des différentes formes de vie animal que l’on pouvait trouver sur notre immense domaine. C’était mes parents, deux jeunes adultes qui travaillaient d’arrache-pied à un monde meilleur.
Dès ma plus jeune enfance, avant même que je sois apte à me déplacer par moi-même, j’étais partout sur la ferme, trimballer d’un endroit à un autre et voyant tout ce qui s’y faisait. Jusqu’à mes cinq ans, l’observation était mon grand travail, après ce capte, je pouvais mettre les mains à la pâte!
Comme nous vivions en dehors de la ville, à petite distance de celle-ci, mes parents me faisaient cours à la maison, autant dire qu’après une bonne journée de travail, je me retrouvais devant cahier brouillon et manuel scolaire à tenter de déchiffrer tout ce qui était écrit. De mes cinq à dix ans, j’ai appris tout ce que je devais savoir sur les tâches qu’ils est important de faire sur une ferme, c’est-à-dire nourrir les animaux, les brosser (pour certains seulement), les sortir pour leur exercice, quelques soins de bases, la reproduction des espèces entre elles, la fertilisation des champs, la cueillette, l’entreposage des ressources, certaines transformations que l’on peut faire avec certains aliments et bien plus encore.
Côté scolaire, j’avançais un peu plus lentement, j’avais peut-être une demi-année de retard sur les élèves qui allaient à l’école, mais à dix ans, je ne m’en faisais pas trop. Je préférais de loin travailler sur la ferme dans les champs.
Jusqu’à mes 14 ans la vie se passa ainsi. Puis je quittai la ferme familiale pour me rendre à une petite école agricole à quelques 100 kilomètres de la maison. Autant dire que c’était le bout du monde dans ma tête. J’y suis restée 4 ans, jusqu’à l’obtention d’un certificat en agriculture à mes 18 ans, me permettant d’en faire plus sur la ferme de mes parents. Je rentrai donc, fière de moi et du travail accompli.
Lorsque j’eus 19 ans, le premier drame de ma vie arriva, et je ne parle pas ici d’une rupture avec un garçon, car une vie amoureuse ne m’a jamais vraiment intéressée. Non, je parle plutôt du décès de ma mère qui a été assez fulgurant. Deux mois avant sa mort, elle se faisait diagnostiquer une tumeur vicieuse au cerveau. Pendant deux mois, nous l’avons accompagné dans la déchéance qui précède la mort, ce fut un moment très difficile, surtout pour mon père qui perdait sa seconde moitié.
Après cela, mon père qui ne s’est pas remis de la mort de sa femme a vendu la ferme et a quitté le pays pour s’éloigner de ses souvenirs. On s’est alors établie au Canada, dans la région de Régina où on s’est trouvé une nouvelle ferme à exploiter. Cette fois-ci, il s’est concentré sur l’agriculture, surtout des céréales et des arbres à fruits. Il faut dire que sans ma mère pour s’occuper de soigner les animaux, mieux valait en prendre moins à la fois. Nous avions donc de grands champs et quelques dizaines de poules et une quinzaine de vaches laitières. Je l’aidais du mieux que je pouvais, m’occupant des finances, entre autre choses. Le travail sur le terrain lui permettait d’oublier son chagrin pendant un instant.
Et c’est ainsi que nous passâmes le temps pendant les deux années qui suivirent. Nous travaillâmes à rebâtir un foyer pour nous deux dans ce nouveau pays, ce nouveau chez-nous. La ferme, en mauvais état à notre arrivée, devint de plus en plus belle au fils des mois. Nous rénovâmes les granges, les entrepôts et le bâtiment résidentiel, puis nous bâtîmes de nouvelles clôtures autour de nos terres, défrichâmes les sols les plus durs et semâmes de nouvelles vies qui poussèrent.
La première année fût difficile au niveau du budget, car même si cette petite ferme ne nous avait presque rien coûté, il avait fallu beaucoup d’argent pour réparer, acheter de nouveaux plans et du bétail. Nous avions serré la ceinture au maximum cette année-là.
La deuxième année fut plus facile, la base de notre nouvelle industrie fermière étant bien établie, nous pouvions nous permettre plus de luxe, comme celui de réaménager l’intérieur de notre demeure, mais également d’acheter quelques ruches pour s’ouvrir une production de miel. Je passai cette année-là à lire sur l’élevage, domaine où j’avais peu étudié lorsque j’étais en Russie.
Un beau jour, alors que j’avais 21 ans, une chose étrange arriva au-dessus de la ville et de ces environs. Une faille se forma dans le ciel, projetant des éclairs dans tous les sens. Je cru d’abord, comme mon père, que ce n’était qu’un caprice étrange de la nature, mais par la suite, nous retrouvâmes des créatures inconnu jusqu’à ce jour dans nos champs et aux travers de notre troupeau.
Quelques temps plus tard, nous apprîmes que c’était des Pokémons, des créatures venant d’un autre univers où elles avaient frôlé la destruction à cause des hommes. Mon père pris alors la décision de transformer la ferme en pension pour ces créatures, leur offrant le gîte, mais aussi désirant les élever et apprendre à mieux les connaître. Il me transmit cette même passion.
Avec l’aide de certains Pokémons, nous aménageâmes une des granges pour en faire une énorme couveuse pour leurs œufs. Nos vergers abritèrent de nouvelles espèces de baies poussant dans les arbres et venant de cet autre univers. Notre sous-sol, quand à lui, se vit transformer en un petit laboratoire par un ami de mon père, un certain Stuart Wilson, travaillant dans l’industrie alimentaire pour animaux. Mon père l’avait rencontré lors de l’achat de nos premières bêtes, il y avait de cela trois ans maintenant, pour avoir des conseils sur la meilleure alimentation ces dernières. Depuis, ils avaient été bons amis.
Auprès de Stuart, je travaillais à mélanger les produits de notre ferme pour produire différentes croquettes pour les Pokémons. Il était un homme généreux, toujours heureux de partager ces connaissances et aimant fêter ses victoires comme ses défaites. Il prenait la vie du bon pied, peu importe ce qui pouvait arriver.
Pendant l’année qui suivit l’apparition des Pokémons, nous fîmes plus que d’améliorer la ferme pour accueillir ces nouvelles créatures, nous nous liâmes d’amitié avec des dresseurs de passage et du coin, prenant soins de leurs Pokémons lorsqu’ils devaient s’absenter pour un moment où lorsqu’ils souhaitaient les reproduire.
Le malheur s’abattit de nouveau sur ma famille lorsque j’eus 22 ans et demi, soit un an et demi après l’arrivée des Pokémons sur Terre. Stuart et mon père partirent porter les fruits de nos cultures à certains magasins en ville. Je me souviens qu’au soir, je ne les avais toujours pas vu rentrer, mais je ne m’inquiétais pas vraiment, ils avaient l’habitude de s’arrêter boire après une bonne livraison. C’est le coup de téléphone à 23h qui m’a appris la vérité. Un accident tout simple, une lumière rouge brulée et je venais de perdre le dernier membre de ma famille.
Pendant une semaine, je ne pouvais bouger de devant le téléphone qui venait de m’apprendre la mauvaise nouvelle de ma nouvelle solitude. Puis, je réalisai que d’autres comptaient sur moi pour s’occuper d’eux. Je me forçai à me lever et plongea dans le travail pour oublier, comme mon père l’avait fait avant moi pour diminuer cette douleur lancinante qui me parcourait.
Depuis maintenant 4 ans, je gère seule la ferme familiale à l’aide d’employés qui restent pour certains, mais qui partent pour la plupart. La vie n’est pas toujours facile, mais je n’ai jamais été porté sur la socialisation alors être un peu plus seule dans mon coin ne me dérange guère.
Ce qui me dérange le plus dans ce monde en ce moment, c’est les secrets que la Team Opal peut avoir pour la population, le fait qu’elle condamne les dresseurs, beaucoup de mes amis. Je me bats donc pour assurer une qualité de vie aux Pokémons et leur permettre de vivre en harmonie avec les hommes.
Derrière le masque...║ Pseudonyme : Pacifik
║ Âge : 21 ans
║ Où avez vous connu le forum : Par Google notre cher ami
║ Ce que vous aimeriez voir en évent ici : Des insects?
|
|
« Hannah Fleming »
| | Sujet: Re: Alexie Molkovitch Ven 27 Juil - 20:46 | |
| Bienvenue !
Désolée de l'attente, mais vu qu'on a des problèmes au sein du staff, rien de grave juste savoir qui part en vacances à quel moment, du coup c'est un peu complexe. Du coup voilà, vu que je suis toute seule je te fais les deux propositions. J'espère de tout coeur que ça t'iras, tu n'auras plus qu'à choisir !
 Ecremeuh Lvl 24 ♀ { Gentille} Avec actuellement les attaques : Charge, Rugissement, Boul'Armure, Ecrasement, Lait A Boire, Patience et Roulade !
 Queulorior Lvl 21 ♂ { Bizarre} Avec actuellement les attaques : Gribouille !
Et vu que tu as choisis une génération et non deux types, tu as le droit à un bonus. Le même pour les deux choix. \o/
Trois rapidballs !
Pour faire des captures efficaces. *w*
Donc, si j'ai bien compris, tu fais ton choix et hop validation. Ta fiche est très bien, au passage. ♥ |
|
Farfuret 
Feuforeve 
