« Hannah Fleming »
 |  Sujet: Hannah • I'm just a big Banana ! ♥  Sam 19 Mai - 23:16 | |
| Hannah Fleming
feat. Kristen BellEn gros...║ Prénom(s) : Hannah
║ Nom : Fleming
║ Âge : 26 ans
║ Signe astrologique : Lion
║ Emploi désiré : Agent de Police
║ Particularités physiques :
On peut lui trouver bien des défauts, mais elle a surtout une fâcheuse manie à poser son index contre son menton, à garder la bouche ouverte et à observer avec insistance le plafond quand elle ne sait pas quoi répondre... N'est-ce pas adorablement adorable ? Bien sûr que si, je le vois dans vos yeux. Héhé. Sinon, il lui arrive aussi de plisser les yeux quand elle soupçonne quelqu'un, et quand elle est gênée, elle joue avec ses cheveux plus ou moins nerveusement, tout dépend de la situation.
L'Univers Pokemon...║ Groupe : Dresseurs
║ Restrictions quant au pokemon : BON, c'est dur, mais je dirais... Psy et/ou glace ?
║ Tranche de niveau : 10 ~
Dans ta tête...║ Convictions quant au conflit :
Je pense qu'Opal n'aurait pas dû se former, que c'est la peur des hommes face à l'inconnu et la soif de pouvoir qui a déclenché ça. Mais je pense surtout qu'on est bien faibles d'avoir laisser le mouvement prendre en ampleur, alors oui, je suis contre eux, et je m'opposerais autant que je pourrais à toutes sortes de choses, mais mon boulot m'oblige parfois à être injuste, la police est contrôlé par Opal. Malgré tout, je n'hésite pas à détourner les preuves pour faire accuser les membres. Je finirais sûrement en prison, dans le meilleurs des cas, et alors ?
║ Ce que tu aimes :
Faire, et manger des Poffins ! Comment ça c'est pas pour les humains... ? Peu importe ! Me faire passer pour une fille stupide, pour une blonde quoi. Danser, et faire la fête, résoudre des enquêtes compliquées, sauver des gens, me vernir les ongles en bleu turquoise, les milk-shake, passer du temps à regarder la plus tomber, l'odeur de la pelouse tondue, les chroniques de la radio, les Pokemons, apprendre qu'Opal s'est fait tacler sur une affaire, faire triompher la Justice, la montée d'adrénaline lorsqu'on lance une pokeball, les curly et les churros, manger au fast food comme une obèse, chanter faux dans les karaokés, l'Égypte et la Chine, les mystères, fouiner.
║ Ce que tu n'aimes pas :
La violence, la douleur, pleurer, les comédies romantiques ratées et la télé réalité. Les frites trop cuites, le pain trop cuit, qu'il fasse trop chaud, les coups de soleil, les draps et les pulls qui grattent, les lacets qui se défont, les heures passées dans les salles d'attente, les hôpitaux, la mort. Apprendre la mort d'un proche à une famille, la pollution, être perdue. L'hystérie des pré-ado devant les stars, les attentats, la Team Opal, les chips au curry, l'amertume, la sonnerie du réveil. Les combats illégaux à mort, le sang, les coups de feu.
║ Psychologie :
Psychologiquement parlant ? Disons que les gens me prennent souvent pour une imbécile, alors ils me sous-estiment et ne me voient pas comme une menace. Bien sûr que je joue là dessus, naturellement. En ça, je ressemble à n'importe qu'elle manipulatrice. Mais une manipulatrice sert ses propres intérêt, non ? Bon, d'accord, c'est souvent ce que je fais, mais quand j'ai moyen d'aider les gens, promis je le fais. J'ai le coeur sur la main et la générosité trop facile. Je n'ai pas l'âme d'une chef et ça me convient, je n'aime pas commander. Je préfère agir dans l'ombre, ou du moins plus discrètement. Je vous ai déjà dis qu'en ça, j'adorais mon boulot ? Vraiment. Que puis-je dire d'autre ? Qu'il suffit de me faire boire deux verres pour que je me transforme en autre chose d’exubérant à l'humour vaseux ? Sinon, je suis quelqu'un qu'on peut aisément qualifier de déterminé, j'aime à bien faire ce que j'entreprends et à me battre pour les causes qui me paraissent juste. C'est bien pour ça que je suis dresseuse et flic, naturellement.
Ce qui t'a mené jusqu'ici...║ Histoire :
Maman disait toujours : « Tu es la meilleure des petites filles, ne laisse jamais quelqu'un te priver de ce que tu veux, bats toi toujours coute que coute pour réaliser tes rêves, sois juste et n'oublie jamais que ton père et moi t'aimons plus que tout. » Je n'ai pas oublié, j'ai vécu avec tant d'amour que je ne peux même pas l'oublier aujourd'hui.
Malgré tout, je me souviens, je me souviens d'un jour d'automne, j'avais passé l'après midi à jouer dans les feuilles mortes, malgré la désapprobation évidente de mes parents. J'avais continué et, pleine de petits morceau oranges et marron, ma mère m'avait tressé les cheveux, comme si on se préparait à une grande occasion, c'était souvent comme ça chez moi. Comme si chaque jour était une grande occasion. Ou peut-être juste qu'elle le pressentait... Allez savoir. Le soir, elle m'avait lu une histoire, je ne devais pas avoir plus de sept ou peut-être huit ans, ça parlait de fées, mais surtout d'espoir et de justice, d'amour et de joie. Peut-être que ça aussi, ça m'a marquée. Allez savoir...
Et vint la nuit, le sommeil, les rêves improbables, voire complétement fous d'une petite fille qui vivait parfaitement bien son enfance. Et puis au final, le réveil, des pas dans le couloir, le crissement des escaliers. La petite fille en moi est curieuse, j'ai gardé ce trait d'elle. Je me lève et je vais voir ce qu'il se passe. Visiblement, ce n'est-ce que ma mère qui descend, probablement pour chercher un verre d'eau. Quoi d'autre ?
Mais il y a quelqu'un derrière ma Maman. Un monsieur en noir. Ce n'est pas un ami, j'en suis sûre, et ce n'est pas Papa... Il a quelque chose qui brille dans les mains, je me cache parce qu'il me fait peur. Je suis effrayée, alors je n'arrive pas à crier pour prévenir Maman... Est-ce qu'elle l'a vu ? Elle est en train de boire, adossée au lavabo, avec un air fatigué, endormi. Et puis elle sursaute et attrape un couteau de cuisine à côté d'elle.
« Qui êtes-vous ?! »
Le Monsieur ne répond pas. La chose qui brille dans ses mains est noire, et elle est pointée sur Maman. Je n'arrive pas à crier, pourtant je voudrais bien, je sais qu'elle est en danger... Je sais mais... Un grand bruit retentit. Un grand « PAN ! » qui m'assourdit et me fait tomber par terre, quand je me relève, le monsieur est partit, la porte est grande ouverte et Maman est sur le carrelage. C'est taché de rouge, partout autour d'elle. Mon père me crie d'aller dans le salon, mais je ne veux pas, alors je m'approche et je la secoue, je la secoue encore. « Maman ! Maman réveille toi !! Maman !!!! » Elle semble ouvrir les yeux, elle me regarde, et me sourit, Papa est au téléphone, il doit sûrement appeler les Pompiers. Alors, elle me regarde, et puis elle me dit : « Je vais devoir partir mon ange... Mais je t'aime, je t'aime... » Et elle ferme les yeux, alors je pleure, je ne veux pas qu'elle parte, et mon père pleure aussi.
C'est un certain samedi d'automne que ma mère s'est fait tuer dans un cambriolage qui a mal tourné.
Mon père a toujours été adorable avec moi. Réellement perturbé, radicalement dévasté, mais toujours adorable. Il n'a jamais levé la main sur moi, et m'a toujours soutenue dans tout ce que j'entreprenais. Avant le décès de ma mère, ils tenaient à deux une petite boutique, un genre de supérette où tout le monde connait tout le monde, vous savez. Et bien, après son décès, il a continué, parce qu'il le faisait pour elle, pour qu'elle soit fière de lui, qu'elle continue à vivre dans leur projet, j'imagine. Ayant perdu ma mère assez jeune, j'avais été traumatisée mais pas assez pour me renfermer totalement sur moi même. J'avais même fini par devenir réellement sociable, et c'est à cette époque là que je suis tombée sur Madison.
Madison Cook. Une petite rousse pleine de tâches de rousseur et complétement folle. Nous étions même devenue bonnes amies ! Forcément à croiser quelqu'un tout les jours et à vivre toujours dans la même ville, on finit par connaître tout le monde. Alors Madison et moi, on avait commencé à faire les 400 coups ensemble. Une vraie pile, une boule d'énergie toujours prête à faire une connerie. À l'école, puis au collège, puis au lycée, on ne se quittait jamais.
On avait même promit qu'on ne se quitterait jamais. Mais il y eu un déclic. Oh non, mon père ne se fit pas assassiner non plus, hein, le cancer a fini par le ronger avant qu'une petite frappe n'aie l'idée de lui poser le canon d'une arme sur la tempe. Il fallait dire que tout le monde l'aimait. En tout cas, après avoir dû presque plaquer mes études pour m'occuper quasi-quotidiennement de lui, Madison a trouvé d'autre amis, j'ai dû faire ma vie dans un autre contexte, dans un autre univers. Mais comme à chaque fois que je tombais, j'ai su me relever, recoller les morceaux, trouver une nouvelle motivation, me battre pour obtenir ce que je voulais. Et sans doute est-ce ça qui m'a motivée à entrer dans la police.
Mon entrée dans les services de police n'a pas été la plus facile qu'il soit, je vous l'accorde. Pourquoi une pauvre ado (ou presque) deviendrait flic alors qu'elle aurait pu devenir mannequin ou j'en passe ? Actrice, peut-être ? Hé bien, j'avais mes raisons. Et bien sûr, il s'est trouvé que j'étais beaucoup plus forte que ce qu'ils pensaient de moi. Capable d'endurer tout mais surtout n'importe quoi, j'étais souvent la victime de brimades et de bizutages. C'était normal, non ? C'est aussi dans mes débuts à la police que j'ai rencontré Darren.
Darren Callhyan. Sombre, mystérieux, doué, juste et direct. Il faisait bien son travail, je faisais de mon mieux pour faire le miens. Et puis, je soupçonnais qu'il était étrange, dans sa tête, j'aurais bien aimé mettre le doigt sur le fin mot de l'histoire, mais encore maintenant je n'y parviens pas. Et dieu sait que je déploies tous les efforts du monde dans cette quasi unique cause. Enfin, presque. Darren. Mon patron. Ahah...
En plus, lorsque le patron – lui même, en personne, rendez vous compte – m'avait proposé de travailler sur une affaire plutôt grosse, sous couverture, j'avais pas pu dire non. Surtout du fait que j'avais l'impression de fondre devant ses yeux bleus, mais professionnellement parlant parce que c'était la première fois que je faisais officiellement du terrain. Alors j'avais enfilé mon tailleur, je devais me faire passer pour une collectionneuse d’œuvre d'art. J'avais été briffé, et tout. Sauf que je devais rencontrer un vendeur... Pas vraiment net, dirons nous.
Il s'est trouvé que les choses ne se sont pas passé comme elles le devaient. Le sale type, en plus d'être un mauvais trafiquant d'art était aussi un psychopathe qui s'en prenait aux jeunes femmes – je vous jure que j'invente rien – sauf que les collèges m'avaient pas briffés là dessus. Forcément, ils n'étaient pas au courant. Mais forcément, quand je me suis retrouvée enfermée avec six autres femmes dans un garage, je me suis vraiment dit que ça sentait le roussi. Sauf que j'ai continué de jouer le jeu, on m'avait dit que dans ce genre de situation, valait mieux éviter de dire qu'on était flic. Et alors, on faisait quoi ? On attendait que les secours viennent ? Alors je me suis mise à gueuler. J'ai toujours été comme ça.
Bien sûr, ça n'a fait que m'attirer des ennuis, parce que le taré m'a emmené dans le salon, et a pointé une arme sur moi en me disant que je causais bien fort pour une collectionneuse. Mais j'ai pas arrêté. D'un côté, je faisais diversion pour que les autres puissent se tirer. Et une bonne demie heure plus tard, alors que je continuais à lui dire qu'il pouvait tout arrêter, que ça irait bien, qu'il n'aurait pas de problème, qu'il n'avait fait de mal à personne, etc, quelqu'un a enfoncé la porte. Bien sûr que j'avais prié pour des renforts. Bien sûr que j'avais prié pour que quelqu'un daigne porter secours à la demoiselle en détresse que j'étais, mais si j'avais su que pour cela il me fallait croiser le regard meurtrier de Darren, franchement, j'aurais préféré devenir ballerine. Une chance que c'était pas pour moi... Une histoire qui fini bien, en somme.
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Il me faut évoquer d'autres choses, d'autres évènements liés de près à la brigade. Peu après mon enlèvement, quelqu'un à rejoint l'équipe. Je soupçonnais Darren de vouloir me protéger d'une façon détournée, un fait dans lequel la certitude que j'avais de cela s'enfonça lorsqu'il me lâcha froidement qu'il serait mon partenaire. Il ne pensa pas si bien dire. C'est donc de cette façon que j'ai rencontré officiellement Nathanaël.
Nathanaël Andreas Thorn. Son second prénom est plus important qu'il n'y paraît. Il se trouve que, pour la faire brève, c'est ce prénom là que j'ai crié dans notre chambre d'hôtel, un certain soir. Mais je vais éviter de développer cette partie pour le moins personnelle. J'ai su me perdre dans l'immensité de son regard, et à présent je crois quand même que je le regrette. Regretter de m'être perdue à ses lèvres ou de l'avoir perdu ? Sans doute un peu des deux. Pour à nouveau la faire courte, il était poli, agréable, même si parfois un peu distant, toujours gentleman et attirant - c'est le moins qu'on puisse dire - mais il s'est révélé être un vrai... Con.
Pendant cette fameuse soirée sous couverture - dans tous les sens du terme - je crois que j'étais quelqu'un d'autre. Pas parce que j'avais un autre nom, ou une autre identité, pas parce qu'à ce moment là, je n'étais plus Hannah mais Rose, pas parce que j'avais toute une autre histoire, une autre vie... Mais ce soir là, qui a succombé à son baiser ? Hannah ou Rose ? A jouer sur les autres identités, on finit par se perdre par simplement se perdre... C'est ce qu'il s'est passé, en tout cas lorsque, le lendemain, j'ai pris sa défense. J'ai vu quelque chose dans le regard de Darren, sa simple façon de poser ses yeux sur moi m'a consumée, et croyez moi, ça n'avais rien du désir. J'ai dû lâcher l'affaire, laisser partir Nathanaël, malgré moi, certes, mais mon patron protégeait la place que j'avais dans la brigade. C'est ainsi que je l'ai perdu, sans même me rendre compte que je ne l'avais jamais obtenu...
Se reconstruire après ça n'était pas des plus simples. Malgré tout, j'avais fait des efforts. Et finalement, après presque quatre ans au bureau à me faire une place, mon monde changea. J'étais en train de me hâter dans la rue, avec des tas de cartons, de dossiers, un peu comme d'habitude, à vrai dire. Mais je voulais vite rentrer chez moi, me débarrasser de tout ça et enfin pouvoir me caler devant un feuilleton débile ou les infos, pouvoir décompresser de ces journées pleines de haine tout autant que... BREF. J'étais donc en train de me prendre la tête quand je traversai la rue en face d'un café et j'avais couru pour éviter une voiture, ne faisant pas attention où je mettais les pieds. Inévitablement, ma maladresse associée à mes imbéciles de pieds – ne dit-on pas bête comme un pied – qui se prirent un trottoir déclenchèrent une rencontre pour le moins inattendue, avec Wyatt.
Wyatt Harris. Laissez moi vous en toucher deux mots, de ce garçon (si on peut dire ça.) Avec moi, il a toujours été adorable, gentil, présent, drôle... Et j'en passe ! L'homme parfait, non ? D'accord, je me calme. J'ai toujours eu beaucoup de respect pour son métier et je suis intimement persuadée qu'il peut vraiment devenir quelqu'un dont il sera réellement fier. Je l'aime beaucoup, je ne m'en cache pas. Par contre, pour ce qui est de la nature de cet amour, je me pose plus de questions. Mais ça fait cinq ans qu'on se connait et il ne s'est pas passé quelque chose depuis un bon moment...
Dès lors de notre rencontre, il a voulu m'aider afin de ramasser les papiers, et tout ce qui avait volé de partout sur le trottoir, les tables, la rue, les voitures même. Digne d'une grande comédie romantique, du style que je détestais, vous voyez ? Et trois jours après, alors que nous avions passé ces soixante-douze heures quasiment tout le temps ensemble – oui, je sais je passe les détails, mais c'est mon droit – nous avions décidé de faire une balade en forêt, le temps était magnifique, nous sommes toujours dans le film magique dont le but est de faire pleurer les spectatrice en faisant augmenter le cours de la bourse avec les actions Häagen-Dazs®.
Mais rapidement, le temps s'était gâté, très étrangement, tout oscillait entre froid, chaud, menace de pluie, de grêle, d'orage, de neige, d'ouragan, de tornade et d'un magnifique soleil brûlant. Naturellement, les gens avaient rapidement prit la fuite de la forêt, ne voyant pas l'intérêt de rester ici si c'était pour finir tremper deux heures plus tard. Mais ce fut en voyant les animaux faire de même que nous nous sommes tous les deux dit qu'il se passaient réellement quelque chose de pas net ici. Et bien sûr, malgré ses réflexions qui m'encourageaient à rester en dehors de ça, ma curiosité naturelle mêlée à ce sentiment de devoir tout savoir et tout faire au mieux – un truc typique de la plupart des flics je crois – me poussèrent à l'entraîner plus profond encore dans la forêt.
Ne trouvant plus rien de louche, la tension retomba et monsieur recommença son numéro de charme. J'imagine qu'il ignorait tout comme moi que nous étions quasiment dans « l'oeil du cyclone », car la faille s'ouvrit quelques mètres plus loin. Mais avant cela, il s'approcha, me dit quelque chose que j'entendis à peine tellement j'étais inquiète de toute cette histoire et s'approcha encore. J'imagine que soit j'avais un bout de salade sur les lèvres, soit il avait l'intention de m'embrasser, mais hélas – j'ai vraiment dis hélas ? Hm – des sortes d'animaux que je n'avais jamais vu auparavant s'étaient incrustés dans le rendez vous... Galant ? Bref. C'était ma première rencontre avec des pokemons. Et lui comme moi, on eut un sentiment purement humain : fuir. Le plus vite possible, le plus loin possible. Arrivé en ville, visiblement, tout le monde était déjà au courant puisque le phénomène s'était propagé de partout. Mais vous connaissez l'histoire...
Trois ans plus tard, alors que l'arrivée des pokemons avait légèrement fait tourner court notre pseudo future mais ex histoire d'amour, je retournai me promener dans la forêt, et tombai nez à nez (oui, c'est littéralement comme ça que cela s'est déroulé) avec un Farfuret. Un pokemon que je ne connaissais pas, j'avoue que je ne m'étais pas réellement penchée sur la question non plus. L'espèce d'enfant de chat bleu et de Wolverine – je vous jure que je n'exagère toujours pas – ne s'est pas réellement pris d'affection pour moi. C'est d'ailleurs le moins que l'on puisse dire puisqu'elle a voulu me tailler en pièce une bonne dizaine de fois avant que je réussisse à la convaincre – je suis convaincante, n'est-ce pas – que je ne lui voulais aucun mal. Au final, nous nous sommes « alliées » si on peut dire, et me voilà traînant avec elle. En plus d'être mon premier – et seul – pokemon, elle est également et véritablement une amie. C'est bien con à dire, je sais. Entre temps, il me faut quand même signaler que je me suis réellement prise d'amitié pour Un certain Anthony.
Anthony Jacobson. Tout comme moi, il semble apprécier particulièrement de rendre fou Opal. D'un côté, les sbires sont souvent pas très malins, alors c'est réellement amusant. Mais, il nous est arrivé plusieurs fois de le faire à deux, ne dit-on pas que plus on est de fous et plus on rit ? C'est sans cette expression qui caractérise le mieux notre relation et notre amitié. Anthony est, au fond, quelqu'un de très intéressant, mais pour cela, il faut réussir à percer sa carapace d'acteur béat et au paraître idiot. Puisqu'il est bien loin de l'être.
Ah oui, j'oublie, j'oublie, mais j'ai continué de bosser à la police. J'ai très vite su qu'elle tomberait sous les griffes d'Opal, et j'ai même été surprise de voir que Darren en portait presque fièrement les couleurs... Dans un premier temps. Car suite à une prise d'otage d'un sbire où je fus une – et la seule – « victime », il apprit que j'étais dresseuse, et vu que jusque là, il ne m'a toujours pas balancée, j'en déduis qu'il joue de son côté un double jeu magistral. Ce gars m'étonnera toujours. Il lui arrive même de me révéler des plans d'Opal, autour d'un dossier, dans son bureau. J'imagine que la moitié des collègues doivent penser que j'entretiens une relation avec le patron, mais non, ce n'est pas vraiment le cas. Ou plutôt, ce n'est vraiment pas le cas.
Derrière le masque...║ Pseudonyme : EUH.. Dieu ? /sort/
║ Âge : 18 ans ~
║ Où avez vous connu le forum : Alors là, c'est une bonne question...
║ Ce que vous aimeriez voir en évent ici : Hé, c'est moi qui le ferait, ou qui y participerait donc... Ce serait du Spoiler 8D
Dernière édition par Hannah Fleming le Ven 1 Juin - 10:26, édité 8 fois |
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Farfuret 
Feuforeve 
Caninos 
